Comme le temps passe, c'est dingue ! Déjà mes quatrièmes voeux publics !!
Je vous souhaite en ce début d'année le meilleur, une bonne santé, des joies, de l'amour, de la vie, de l'espoir, et des bonnes surprises, et tutti quanti.
Voilà, ça, c'est fait...
Je n'aime pas beaucoup les voeux, non que je n'aime pas que l'on ait à mon égard des douces pensées pour l'année à venir, ou que je ne veuille pas exprimer aux autres d'agréables souhaits, mais plutôt que certains bons voeux deviennent douloureux à recevoir, en raison de la répétition des scenarii, de la redondance des situations, du constat que le temps passe et que ces choses que l'on vous a souhaitées l'année dernière et qui sont capitales pour toucher au bonheur vous manquent toujours un an après.
Les gens heureux ne perçoivent pas - que dis-je, ne conçoivent même pas - à quel point, par les voeux, on accentue la douloureuse absence de ces choses sur lesquelles on n'a d'autre pouvoir, que celui de constater qu'on les a, ou de continuer d'espérer qu'elles arrivent, enfin. Pour ce qui me concerne, c'est particulièrement l'Amour qui me fait défaut, mais tous ceux qui ne sont pas heureux (sans forcément être malheureux) ne peuvent qu'identifier au cours de la "cérémonie des voeux" cet élément essentiel qui brille par son absence. Et qu'il est amer de voir que les autres ont également perçu cette absence ! Les gens, pourtant bien intentionnés , ne mesurent comme il est douloureux de voir passer les ans sans les éléments essentiels à une vie épanouie, et à quel point la cérémonie des voeux est difficile pour ceux qui ne nagent pas dans le bonheur. Donc, vivement le 1er février, qu'on en finisse avec les voeux.
En fait, pour 2012, je vous souhaite seulement d'être heureux, par tous les moyens ! De mon côté, je vais essayer que cette année soit celle de toutes les concrétisations. J'espère y arriver ! Je vous tiens au courant.